Il s’agit du monument le plus sacré du Laos (avec peut-être Wat-Phu dans le Sud…), en réalité un reliquaire sensé abriter le sternum du Bouddha (!) caché par des missionnaires hindous au III b.c. et construit par le roi Setthathirat, au XVIème siècle. Mais qu’importe, mon but n’étant pas de jouer les historiennes de comptoir, mais juste de vous faire part de ma petite idée quant à l’origine de tant d’extravaganza dorée, à tendance parfois même mégalomane chez le lao…
Du doré… sinon rien !
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