Ce qui m’a toujours frappé en Asie du Sud-est c'était le fait que les gens ne semblent JAMAIS surpris par les averses. Au pire, si l’on est à moto, on s’arrête le temps de mettre son imperméable (précautionneusement rangé sous le siège de la moto) et ‘zou, on repart. Pas de cris, pas de pleurs, mais avec sérénité…
À nous, les falangs, les orages causent un grand émoi : on cesse toute activité préalable, on court tel un cafard ayant reçu une rafale de Baygon, on pousse des cris, et, dans cette agitation, on finit bien sûr par être trempé.
Je n’arrive vraiment pas à prendre la saison des pluies avec philosophie, à croire que je suis faite en sucre…
Un parapluie s’il vous plaît… Sinon rien !
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