En me baladant pour la première fois dans une des collines autour de Kaboul, mon collègue et moi nous sommes retrouvés dans l'endroit privilégié des amateurs de cerfs-volants.
Lieu assez poétique où les générations se mélangent, les enfants grouillent et courent partout, mais où, ce vide féminin m'est toujours quelque peur inconfortable (notamment car je ne passe pas inaperçue... et cela, plutôt que d'être flatteur, c'est en réalité même quelque peu dangereux...)