Comment ça il n’y a pas de plage à Luang Prabang ?!?
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Jadis un abrégé insolent d’architecture, de culture et d'art de vivre à la "vientianaise"… où se sont mêlées colonnes de marbre, maisons en pilotis, sérénité et vacarme… en direct du Laos.
Désormais, "De l'harmonie..." a traversé les Annams et s'est installé à Saïgon, poumon économique, culturel et sociétal (à défaut d'être la capitale...) d'un Vietnam qui change à la vitesse "V" !
Agréables exils
Du côté de chez nous
Du côté de chez Swan
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Qui sommes-nous ?
à l'heure de Vientiane...
La femme du libraire lit...
Depuis quelques mois, je suis avec attention des blogs littéraires, animés par des filles passionnés de littérature et très avides d'échanges autour de thèmes littéraires. De fil en aiguille, comme toujours avec internet, j'ai découvert également les SWAP littéraires et ayant participé récemment à un de ces échanges, j'ai reçu un colis fantastique contenant trois livres que je déguste actuellement:
Tout d'abord, de Herbjorg Wassmo, Le livre de Dina: les limons vides, le premier tome d'une trilogie qui raconte l'histoire d'une jeune femme, en Norvège, au milieu du XIX siècle, qui débute dans la vie avec une horrible tragédie en partie : la mort de sa mère. Un style très particulier, froid, clinique. Un ouvrage un peu aux antipodes des livres que je lis habituellement.
Puis, de Lao She, "Le pousse-pousse". Une histoire toute simple, qui met en scène des gens ordinaires, notamment celle de Siang-tse, un tireur de pousse-pousse à qui arrive des aventures urbaines, dans une Chine des années 20-30. Un roman léger, imagé, coloré, cru parfois, qui me fait étrangement penser à mon auteur préféré... Un auteur à découvrir pour ceux comme moi qui apprécient le naturalisme.
En dernier, mais pas encore entamé, Orgueil et préjugés, de Jane Austin. À suivre...
Merci à Papillon. Pour aller voir son blog littéraire, c'est ICI.
Tout d'abord, de Herbjorg Wassmo, Le livre de Dina: les limons vides, le premier tome d'une trilogie qui raconte l'histoire d'une jeune femme, en Norvège, au milieu du XIX siècle, qui débute dans la vie avec une horrible tragédie en partie : la mort de sa mère. Un style très particulier, froid, clinique. Un ouvrage un peu aux antipodes des livres que je lis habituellement.
Puis, de Lao She, "Le pousse-pousse". Une histoire toute simple, qui met en scène des gens ordinaires, notamment celle de Siang-tse, un tireur de pousse-pousse à qui arrive des aventures urbaines, dans une Chine des années 20-30. Un roman léger, imagé, coloré, cru parfois, qui me fait étrangement penser à mon auteur préféré... Un auteur à découvrir pour ceux comme moi qui apprécient le naturalisme.
En dernier, mais pas encore entamé, Orgueil et préjugés, de Jane Austin. À suivre...
Merci à Papillon. Pour aller voir son blog littéraire, c'est ICI.
Count me in!
Vive les expats!
2 commentaires:
Avec la pluie qui s'abat en Asie en ce moment, c'est plutôt concours de t-shirt mouillé que beach party...
Ha haa... découverte je suis ! Je viens volontiers boire une noix de coco au beach bar !!
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